Le 17 février dernier, dans une forêt de Peille (Alpes-Maritimes), Aslan, chien-loup tchécoslovaque âgé de 7 ans, a été tué en pleine balade. Deux coups de feu, un hurlement, puis le silence. Sa gardienne, Sandrine Bérard, a retrouvé son compagnon criblé de plombs.
Le tireur ? Un chasseur qui s’est récemment dénoncé aux gendarmes, expliquant l’avoir confondu… avec un loup. Comme si cela excusait tout. Comme si, dans nos campagnes, il suffisait de ressembler au sauvage pour mériter la mort.
Ce drame n’est pas une erreur isolée, mais le reflet d’un climat de haine et d’impunité envers le vivant, nourri par la désinformation et une politique de gestion cynique de la faune sauvage. Quand le fantasme du loup devient un permis de tuer, c’est tout le lien entre l’humain et la nature qu’on assassine.
Aslan ne reviendra pas. Combien d’autres devront tomber avant qu’on ouvre les yeux ?
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