Il faut sauver nos savoirs populaires en France : «une plante qui n’est plus regardée et plus nommée, n’existe plus»

On est pas mal d’ethnobotanistes à s’insurger contre cet orgueil de la science froide, qui relève de l’imposture et de la volonté de pouvoir. Ça les gêne de savoir que le peuple a pu savoir sans eux.