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Ces 11 vaccins qui vont faire plaisir aux lobbies pharmaceutiques…

Ce mercredi 5 juillet 2017, la ministre de la Santé et de la Solidarité du gouvernement Philippe, Agnès Buzyn a affirmé que huit vaccins supplémentaires à destination de la petite enfance deviendraient obligatoires. Cette mesure validée par Edouard Philippe sera mise en application dès 2018. La polémique enfle dans le débat public. Les grandes lignes […]

Ce mercredi 5 juillet 2017, la ministre de la Santé et de la Solidarité du gouvernement Philippe, Agnès Buzyn a affirmé que huit vaccins supplémentaires à destination de la petite enfance deviendraient obligatoires. Cette mesure validée par Edouard Philippe sera mise en application dès 2018. La polémique enfle dans le débat public.

Les grandes lignes de cette mesure controversée

Lors de l’annonce de cette obligation vaccinale, Agnès Buzyn a qualifié la couverture vaccinale française « d’intolérable ». La couverture vaccinale est la proportion de personnes vaccinées dans une population à un moment donné c’est avec cette mesure que le gouvernement a la possibilité de savoir si le programme de vaccination est appliqué selon la loi.

Là où l’OMS recommande une vaccination à 95% pour éviter la propagation d’épidémies, la France a « un taux compris entre 70 et 85% sur les vaccins qui ne sont aujourd’hui que recommandés » alors que le taux de couverture vaccinale des trois vaccins obligatoires est « optimale, meilleure que celle des autres pays ». L’objectif de cette mesure serait donc de rendre les huit vaccins recommandés obligatoires ; ils seront remboursés à 65% par l’Assurance maladie et 35% par les assurances complémentaires. L’évolution et les résultats de cette campagne massive de vaccination seront analysés et ajustés lors d’un rendez-vous annuel.

*Les vaccins obligatoires sont : DTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite)

*Les vaccins recommandés sont : la coqueluche, le virus de l’hépatite B, la bactérie Haemophilus influenzae, le pneumocoque, le méningocoque C et les virus de la rougeole, des oreillons, de la rubéole.

Les arguments du gouvernement

Agnès Buzyn plaide « un impératif de santé publique », au même titre que sa prédécesseure, Marisol Touraine, et cite les chiffres de la réémergence de certaines maladies :

« Entre 2011 et 2015, 255 cas d’infection invasive à méningocoque chez des personnes âgées de 1 à 24 ans, parmi ces jeunes, 25 sont décédés et plusieurs présentent de graves séquelles, notamment des retards mentaux. Cela aurait pu être évité par la vaccination. Entre 2006 et 2013, plus de 2000 cas d’hépatite B chez des sujets non vaccinés. Et sur ces 3 dernières 408 cas, dont 14 atteintes aiguës parfois mortelles et de nombreuses formes chroniques sévères entraînant cirrhose du foie et cancers. »

La ministre estime également que le risque des effets secondaires reste inférieur à celui d’une mauvaise couverture vaccinale. Elle invoque également « une question de solidarité « Je n’aime pas imposer des obligations, mais cela se justifie en matière de vaccination. Car elle n’est pas simplement un acte individuel, mais une question de solidarité. C’est une façon de protéger l’ensemble de la société. En se faisant vacciner, on se protège soi-même certes, mais on évite aussi de transmettre des maladies aux autres, particulièrement aux enfants, aux personnes malades et/ou âgées. Et quand une question n’engage pas que les individus mais la collectivité toute entière, les pouvoirs publics doivent prendre leur responsabilité. »

L’ombre des lobbies

Depuis qu’Emmanuel Macron s’est présenté à l’élection présidentielle, il a été qualifié de grand ami des patrons et des lobbies. En effet, si la communication est tirée à quatre épingles et que les mesures semblent douces et positives, la question qui taraude nombre de Français est tout simplement : peut-on lui faire confiance ? La mesure de l’obligation vaccinale augmente le doute de ce qui pourrait apparaître comme un large service rendu aux laboratoires pharmaceutiques dont les bénéfices atteignent des plafonds.

Les investissements des laboratoires dans les groupes de vaccins ou les infrastructures ne pâlissent pas depuis leur forte augmentation en 2008 – la Maladie avec un grand M touche 250 millions de personnes chaque année, et les soins rapportent gros. De plus, le gâteau que se partage l’industrie pharmaceutique a baissé depuis 2013 : année à laquelle nombre de brevets protégeant les médicaments vedettes ont expiré. Cette expiration a logiquement mené à la multiplication des ventes des médicaments génériques, tout aussi efficaces et bien moins cher que leurs homologues « brandés ».

Le petit plus des vaccins, c’est qu’ils ne sont pas « généricables » ; si un vaccin demande un savoir-faire unique et des usines spécifiques, les médicaments peuvent être copiés uniquement grâce à leur formule. Lorsque certains Etats décrètent une obligation vaccinale, c’est tout simplement le jackpot : le chiffre d’affaires explose et l’interventionnisme légitime les éventuels accidents postérieurs. L’affaire est dans le sac ! Si en 2008, le vaccin ne représentait que moins de 3% du marché pharmaceutique mondial, il affiche depuis une croissance à deux chiffres et doublera d’ici à 2025 avec des ventes atteignant les 80 milliards de dollars.

Afin d’optimiser l’effet des vaccins et d’éviter les deuxièmes voire troisièmes injections, les labos pharmaceutiques ont recours à des petites astuces en mode DIY : les vaccins combinés qui ont eu leur lot d’opposants et d’adjuvants ! Car oui, lorsqu’on pense aux vaccins, on pense en priorité au produit, mais l’on parle très peu des adjuvants. En effet, afin de dynamiser l’effet du principe actif, sont ajoutés des produits appelés adjuvants immunologiques tels que l’aluminium, ils sont également responsables de certains effets secondaires. Par ailleurs, les femmes enceintes, les personnes immunodéprimées ou les très jeunes enfants reçoivent des vaccins sans adjuvant, preuve de leur nocivité notable sur nos organismes. Quoi qu’il en coûte, c’est moins cher !

« On sait que Pasteur s’est trompé », Dr Christian Tal Schaller

Seulement, les études et les scientifiques qui nient totalement l’efficacité des vaccins sont légions. Le Dr Christian Tal Schaller, médecin depuis plus de 40 ans étaye son argument principal par le fait que les vaccins baissent les immunités générales – c’est à dire que le vaccin agit contre un virus particulier, il le fait au détriment de l’environnement dans lequel il évolue ! Il explique qu’une intervention extérieure n’est pas adaptée pour guérir durablement une pathologie intérieure qui évolue dans l’ensemble du système du corps humain. Par ailleurs, si la médecine s’appuie sur des soins au cas par cas, la vaccinologie soumet tout le monde à un unique traitement malgré les différences des résistances aux effets secondaires par exemple.

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Ce médecin indigné cite également le cas Gardasil qui a été administré à des millions de jeunes filles (144 millions de doses écoulées dont 2,5 millions de Françaises) sous couvert d’une large campagne contre le cancer du col de l’utérus. Ce même vaccin qui a été interdit au Japon, a causé plus de 32 000 cas d’effets secondaires, dont 587 où le prognostic vital était engagé ainsi que 148 décès en 2013 selon le Vaers (système de surveillance américain). En France, pas moins de 2000 cas d’effets indésirables ont été notifiés dont 500 graves et 4 décès, sans mentionner les suspicions de lien entre le vaccin et le développement de la sclérose en plaques chez des jeunes femmes en bonne santé.

En 2015, le Conseil constitutionnel a décrété que la vaccination obligatoire n’était pas contraire à la loi fondamentale, soit celle de disposer de son corps librement. N’est-ce pas finalement aux parents de décider si leur enfant doit ou non se faire vacciner ? Et ce, selon leurs convictions ? La carte de la solidarité nationale sortie par Agnès Buzyn ou encore celle de la comparaison au Code de la route ne sont pas plus valables pour certains scientifiques qui attestent que la vaccination de certains ne prévient pas de la contagion des autres.

Dilemme du citoyen éveillé

Que faire alors ? Nous sommes assaillis par des dizaines voire des centaines d’avis différents sur la question. Le sujet est grave et touche tout le monde car il touche à la santé et à l’intégrité. Certains mots comme « épidémie », « sécurité nationale », « effets secondaires », « proportion de décès acceptable » font peur.

Il n’y a pas de bon ou de mauvais parti, il est clair que les effets secondaires et le manque de résistance de certains face aux vaccins existent comme il est clair que les laboratoires pharmaceutiques s’en foutent plein les fouilles en utilisant nos peurs et nos doutes sur notre santé. Il est vrai que le concept d’obligation ne colle pas avec notre devise nationale qu’est liberté, égalité, fraternité mais qu’il est parfois indispensable à notre sécurité. 11 vaccins obligatoires sur un temps si court, c’est beaucoup. Il est difficile de se positionner lorsqu’on fait partie de ceux qui disent que cela n’arrive qu’aux autres, c’est pourtant une question qui nous concerne tous. La seule réponse valable à vos yeux sera celle que vous mettrez sur pied grâce à vos sources d’informations claires et alternatives, grâce à une pesée du pour et du contre, à la lecture, l’écoute, l’éducation, la prise de recul, la déconstruction de croyances, de la critique et l’ouverture. Seulement alors vous pourrez construire votre avis et le défendre.

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